À travers la voix de jeunes insulaires, À perte de vue aborde la disparition qui guette le territoire des Îles-de-la-Madeleine suite à la transformation des dunes et des falaises causée par les nombreuses tempêtes et les changements climatiques.
Sarah Salem est une jeune cinéaste diplomée en direction de la photographie à l’Université du Québec à Montréal. Sa curiosité et sa démarche anthropologique lui permettent de poser un regard patient et attentif aux évènements qui l’entourent.
Marie-Chloé Racine est diplômée de l’UQAM en direction de la photographie. C’est en co-réalisant, À perte de vue, son premier court métrage, qu’elle découvre une passion pour les rencontres inattendues et les histoires sensibles que proposent le cinéma documentaire.
Les Percéides – Festival international de cinéma et d’art de Percé. Tous droits réservés